Making of
Bonjour à tous et bienvenue sur ce blog consacré au cinéma et à la cinéphilie (entre autres sujets). Je me suis beaucoup posé de questions sur la façon dont j'allais intituler cette tribune. Le titre devait donner le ton, la couleur, l'habillage. Je me suis donc dit que j'allais lui donner le titre d'un film. PHANTOM OF THE PARADISE s'est imposé à moi comme une évidence (J'espère que Brian de Palma ne me poursuivra pas en justice... mais je possède une kyrielle - je mets au défi quiconque d'utiliser ce mot lors d'un dîner - d'avocats véreux prêts à défendre mes intérêts). Pourquoi ? On a à peu près le même âge, on a donc grandi ensemble... On a donc un rapport d'intimité et de proximité.
En ces temps troubles où je me lance dans la fabrication des films, ce film me parle particulièrement, hurle dans mes oreilles, s'insinue dans chaque pore de ma peau. Winslow Leach, compositeur talentueux, se fait voler son oeuvre par Swan, Faust moderne, représentant de l'industrie du disque. Il entre dans la clandestinité sous les traits d'un fantôme défiguré pour récupérer son oeuvre et hante le Paradise, salle de spectacle créée par l'infâme Swan.
Voici donc mon parrain : un fantôme, une illusion, un personnage qui se fait broyer par l'industrie et le commerce...mais un artiste qui a des exigences sur son travail, qui refuse les compromissions, qui entre en résistance. Les coïncidences avec la situation actuelle sont frappantes, n'est-il pas ? Il faut donc entrer en résistance pour que vive un cinéma de qualité !!! Donnons une chance à des projets ambitieux... Aimons les films, tous les films et pas seulement ceux qui passent à la télé à des heures de grande écoute et qui envahissent simultanément plusieurs salles des multiplexes de cinéma...
A mon modeste niveau, je parlerai donc des films que j'aime.
Merci à ceux qui me liront et me feront partager leur passion pour le cinéma.
En ces temps troubles où je me lance dans la fabrication des films, ce film me parle particulièrement, hurle dans mes oreilles, s'insinue dans chaque pore de ma peau. Winslow Leach, compositeur talentueux, se fait voler son oeuvre par Swan, Faust moderne, représentant de l'industrie du disque. Il entre dans la clandestinité sous les traits d'un fantôme défiguré pour récupérer son oeuvre et hante le Paradise, salle de spectacle créée par l'infâme Swan.
Voici donc mon parrain : un fantôme, une illusion, un personnage qui se fait broyer par l'industrie et le commerce...mais un artiste qui a des exigences sur son travail, qui refuse les compromissions, qui entre en résistance. Les coïncidences avec la situation actuelle sont frappantes, n'est-il pas ? Il faut donc entrer en résistance pour que vive un cinéma de qualité !!! Donnons une chance à des projets ambitieux... Aimons les films, tous les films et pas seulement ceux qui passent à la télé à des heures de grande écoute et qui envahissent simultanément plusieurs salles des multiplexes de cinéma...
A mon modeste niveau, je parlerai donc des films que j'aime.
Merci à ceux qui me liront et me feront partager leur passion pour le cinéma.
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