Ecrire pour exister
Il y a quelques temps, je suis tombé sur l'affiche d'un film de Richard Lagravanese (scénariste de Sur la route de Madison de Clint Eastwood et de L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux de Robert Redford) avec Hillary Swank, Ecrire pour exister. J'aime beaucoup Hillary Swank, surtout son nom de famille qui résonne comme une onomatopée de la série de Batman des années 60. Lorsqu'un coup était asséné à un ennemi par Batman, interprété par Adam West (que devient-il ?), un effet spécial graphique inspiré de la BD venait zébrer l'écran d'un SWANK ou d'un WHAM tenant lieu de bruitage.
Mais ce qui m'attire le plus dans ce film, c'est le titre, Ecrire pour exister. Je ne sais pas ce que vaut le film, mais le titre est une invitation à mettre sur papier (ou sur ordinateur par traitement de texte selon les méthodes modernes, même si c'est moins romantique que les ratures et les papiers en boule qui s'amoncellent dans une corbeille en osier) ses idées... Que faire de ce que l'on a en soi ? L'exposer aux autres en partageant sa vision au risque qu'elle soit remise en cause ou le garder profondément à l'intérieur de peur de paraître stupide ? Pendant longtemps, mon choix s'est porté sur la seconde solution jusqu'à ce que la crainte de la formation d'un ulcère se fasse trop pressante. Je choisis à présent d'écrire pour exister. A vous, lecteurs attentifs, de m'encourager ou de me censurer ! J'attends vos réactions...
Mais ce qui m'attire le plus dans ce film, c'est le titre, Ecrire pour exister. Je ne sais pas ce que vaut le film, mais le titre est une invitation à mettre sur papier (ou sur ordinateur par traitement de texte selon les méthodes modernes, même si c'est moins romantique que les ratures et les papiers en boule qui s'amoncellent dans une corbeille en osier) ses idées... Que faire de ce que l'on a en soi ? L'exposer aux autres en partageant sa vision au risque qu'elle soit remise en cause ou le garder profondément à l'intérieur de peur de paraître stupide ? Pendant longtemps, mon choix s'est porté sur la seconde solution jusqu'à ce que la crainte de la formation d'un ulcère se fasse trop pressante. Je choisis à présent d'écrire pour exister. A vous, lecteurs attentifs, de m'encourager ou de me censurer ! J'attends vos réactions...
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