Pourquoi je n'aime pas les séries
Depuis quelques années, un véritable engouement pour les séries américaines saisit les chaînes de télévision et les téléspectateurs. Pas un magazine télé qui ne fait pas sa couverture sur les dessous de telle série ou sur l'acteur(trice) de telle autre. Il faut reconnaitre qu'elles sont inventives, bien écrites, réalisées avec brio et impeccablement interprétées... Bref, ce sont des valeurs sûres, fédératrices et qui attirent un public jeune. Au hit parade des vidéos les plus téléchargées figurent les séries américaines dont les fans les plus irréductibles (et il y en a beaucoup) ne peuvent attendre la diffusion en France des prochaine saisons. Découvrir les épisodes des nouvelles séries en même temps que son homologue cathodique américain est une nécessité absolue, sous peine de passer pour un ringard.
Pour ma part, je me sens étranger à ce phénomène de société. Je n'ai jamais vraiment accroché à une série. Quand j'étais minot, j'en regardais quelques unes dont La Quatrième dimension (ma préférée), Les Mystères de l'Ouest, Les Têtes brûlées, Hulk (avec Bill Bixby et Lou Ferrigno) ou La Petite maison dans la prairie (que j'ai vite pris en grippe), mais je n'étais pas addict. J'avais bien quelque affection pour Robert Conrad ou Lee Majors, mais rien de plus. En plus, je me suis toujours demandé pourquoi The Six million dollar man augmente sa valeur dans sa version française pour devenir L'Homme qui valait trois milliards en traversant l'Atlantique. L'inflation et le cours du dollars sans doute...
Je n'arrive pas à m'attacher et m'identifier à des personnages dans le long terme. Je suis difficile à fidéliser. Chaque film de cinéma est un prototype qui raconte dans une durée donnée une histoire couvrant une plus ou moins longue période. Le fait d'approcher du dénouement au fur et à mesure que la projection s'achève est une sensation unique. C'est ce côté unique et exceptionnel qui m'attire au cinéma. Vous me direz que les séries procèdent également du même principe, mais à répétition. Je n'arrive pas à être convaincu par un personnage et une histoire qui se décline (répète) indéfiniment. Des amis me conseillent d'ailleurs régulièrement de les regarder, de Grey's anatomy à Doctor House en passant par 24. On m'en a pourtant vanté les mérites. Mais y a rien à faire, j'y arrive pas... Dans la période récente, je ne revendique qu'un épisode des Sopranos et un autre de Sex and the city...
J'avoue quand même que les séries américaines qui envahissent nos écrans sont d'excellente qualité. Les chaînes les diffusent d'ailleurs plusieurs épisodes à la suite. Elles ont toutes conservé leur titre d'origine en débarquant dans l'Hexagone. Desperate housewives, Prison break, Six feet under, Sex and the city, Friends, Grey's anatomy, Heroes, Lost sont autant de marques déposées identifiables dans le monde entier. Impérialisme quand tu nous tiens...
Pour ma part, je me sens étranger à ce phénomène de société. Je n'ai jamais vraiment accroché à une série. Quand j'étais minot, j'en regardais quelques unes dont La Quatrième dimension (ma préférée), Les Mystères de l'Ouest, Les Têtes brûlées, Hulk (avec Bill Bixby et Lou Ferrigno) ou La Petite maison dans la prairie (que j'ai vite pris en grippe), mais je n'étais pas addict. J'avais bien quelque affection pour Robert Conrad ou Lee Majors, mais rien de plus. En plus, je me suis toujours demandé pourquoi The Six million dollar man augmente sa valeur dans sa version française pour devenir L'Homme qui valait trois milliards en traversant l'Atlantique. L'inflation et le cours du dollars sans doute...
Je n'arrive pas à m'attacher et m'identifier à des personnages dans le long terme. Je suis difficile à fidéliser. Chaque film de cinéma est un prototype qui raconte dans une durée donnée une histoire couvrant une plus ou moins longue période. Le fait d'approcher du dénouement au fur et à mesure que la projection s'achève est une sensation unique. C'est ce côté unique et exceptionnel qui m'attire au cinéma. Vous me direz que les séries procèdent également du même principe, mais à répétition. Je n'arrive pas à être convaincu par un personnage et une histoire qui se décline (répète) indéfiniment. Des amis me conseillent d'ailleurs régulièrement de les regarder, de Grey's anatomy à Doctor House en passant par 24. On m'en a pourtant vanté les mérites. Mais y a rien à faire, j'y arrive pas... Dans la période récente, je ne revendique qu'un épisode des Sopranos et un autre de Sex and the city...
J'avoue quand même que les séries américaines qui envahissent nos écrans sont d'excellente qualité. Les chaînes les diffusent d'ailleurs plusieurs épisodes à la suite. Elles ont toutes conservé leur titre d'origine en débarquant dans l'Hexagone. Desperate housewives, Prison break, Six feet under, Sex and the city, Friends, Grey's anatomy, Heroes, Lost sont autant de marques déposées identifiables dans le monde entier. Impérialisme quand tu nous tiens...
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