Zombie la mouche
A film potache, titre de message potache...
Planet terror ressuscite (c'est le cas de le dire) le film de zombie dont les deux films emblématiques sont La Nuit des morts vivants de George A. Romero (1968) et Le Village des damnés de Wolf Rilla (1960), dont John Carpenter a tiré un remake en 1995. Mais Planet terror ressemble plus à Thriller, le clip de Michael Jackson en version rallongée, par son aspect parodique qui confine parfois à l'absurde (ce n'est pas une critique...) Mais il emprunte au film de Romero un contexte politique (en l'occurrence, la guerre en Irak) qui justifie le statut de mort-vivant. Rodriguez se fait plaisir en injectant une forte dose d'hémoglobine, de pustules purulents, d'arrachages de membres, de découpage à la scie sauteuse et autres fusillades. Il est plus branché action que son compère. D'ailleurs, Tarantino acteur se réserve les meilleures répliques, notamment le monologue sur la stripteaseuse unijambiste qui m'a bien fait rire pour des raisons personnelles que je n'exposerai qu'à l'oral...
On reproche souvent aux films de Tarantinez et de Rodrigo des personnages féminins castrateurs. Bien que Grindhouse ne m'ait pas fait grimpé aux rideaux, je ne partage pas ce point de vue. D'ailleurs, dans Planet Terror, les émasculations sont l'apanage des personnages masculins qui exhibent comme des trophées les testicules ennemies dans un bocal prévu à cet effet. Le girl posse de Tarantino est éminemment jouissif (quelqu'un a l'adresse du fan club de Rosario Dawson ?). Quant à Rose Mac Dowan (c'est vrai qu'elle a un faux air d'Ava Gardner...) et Marley Shelton (la blonde infirmière), elles sont absolument délicieuses. Si j'étais un zombie, je pense que je me laisserai attendrir, quitte à prendre une décharge de mitraillette en plein buffet. En tout cas, ce sont de vrais personnages.
Dans Planet terror, Robert Rodriguez a convoqué dans le rôle du shérif amateur de sauce barbecue texane un acteur culte des années 80 : Michael Biehn. Cela m'a fait tout drôle de revoir cet acteur qui s'est perdu dans les limbes de ma mémoires... Il est le premier à avoir protéger Sarah Connor des griffes acérées du Terminator dans Terminator de James Cameron. Celui-ci l'a rappelé pour interpréter un rôle dans Aliens en 1986 et dans Abyss en 1989. Il a enfin joué dans des "monuments" du film d'action comme Navy seals ou Timebomb qui ont fait la gloire des vidéoclubs.
On reproche souvent aux films de Tarantinez et de Rodrigo des personnages féminins castrateurs. Bien que Grindhouse ne m'ait pas fait grimpé aux rideaux, je ne partage pas ce point de vue. D'ailleurs, dans Planet Terror, les émasculations sont l'apanage des personnages masculins qui exhibent comme des trophées les testicules ennemies dans un bocal prévu à cet effet. Le girl posse de Tarantino est éminemment jouissif (quelqu'un a l'adresse du fan club de Rosario Dawson ?). Quant à Rose Mac Dowan (c'est vrai qu'elle a un faux air d'Ava Gardner...) et Marley Shelton (la blonde infirmière), elles sont absolument délicieuses. Si j'étais un zombie, je pense que je me laisserai attendrir, quitte à prendre une décharge de mitraillette en plein buffet. En tout cas, ce sont de vrais personnages.
Dans Planet terror, Robert Rodriguez a convoqué dans le rôle du shérif amateur de sauce barbecue texane un acteur culte des années 80 : Michael Biehn. Cela m'a fait tout drôle de revoir cet acteur qui s'est perdu dans les limbes de ma mémoires... Il est le premier à avoir protéger Sarah Connor des griffes acérées du Terminator dans Terminator de James Cameron. Celui-ci l'a rappelé pour interpréter un rôle dans Aliens en 1986 et dans Abyss en 1989. Il a enfin joué dans des "monuments" du film d'action comme Navy seals ou Timebomb qui ont fait la gloire des vidéoclubs.
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