La politique du (moins) pire
Un barrage à Sarkozy doit être érigé. Ses idées d'ultra-libéralisme atlantiste et antisocial doivent être combattues avec la plus grande force, tout comme son ambition démesurée. Le candidat des patrons risque de mener la France vers une politique d'exclusion.
Le monde de la culture a souvent tendance à voter pour la gauche. Les grands travaux ont plus été l'apanage de François Mitterrand que de Jacques Chirac. Si on parle d'un ministre de la Culture emblématique, on évoque plus Jack Lang que Jean-Jacques Aillagon ou Renaud Donnedieu de Vabres (en plus, ils ont des noms imprononçables). Quant au statut des intermittents, il a été remis en cause par la droite. Sarko veut le supprimer, ainsi que tous les minimas sociaux.
Ségolène Royal représente un espoir. A condition que la pression autour d'elle ne soit pas relâchée. On a besoin de plus de solidarité sans pour autant oublier les dérives de la gauche caviar mitterrandienne qui a creusé le déficit. Ses idées doivent être mieux appliquées en favorisant un retour à l'emploi plutôt que l'assistanat par la multiplication des aides sociales. Une politique à visage humain et proche des gens est plus importante qu'une politique répressive et culpabilisante, source de divisions.
Oui à Ségolène, mais on doit être derrière elle pour faire pression sur elle. L'engagement ne signifie pas qu'elle aura un chèque en blanc. La démocratie participative consiste aussi à ce que ses partisans lui disent si elle fait fausse route. Le Ministre de l'Intérieur n'admettra aucune critique et son aveuglement nous mènera à notre perte.
Que la culture vive et soit forte !
Le monde de la culture a souvent tendance à voter pour la gauche. Les grands travaux ont plus été l'apanage de François Mitterrand que de Jacques Chirac. Si on parle d'un ministre de la Culture emblématique, on évoque plus Jack Lang que Jean-Jacques Aillagon ou Renaud Donnedieu de Vabres (en plus, ils ont des noms imprononçables). Quant au statut des intermittents, il a été remis en cause par la droite. Sarko veut le supprimer, ainsi que tous les minimas sociaux.
Ségolène Royal représente un espoir. A condition que la pression autour d'elle ne soit pas relâchée. On a besoin de plus de solidarité sans pour autant oublier les dérives de la gauche caviar mitterrandienne qui a creusé le déficit. Ses idées doivent être mieux appliquées en favorisant un retour à l'emploi plutôt que l'assistanat par la multiplication des aides sociales. Une politique à visage humain et proche des gens est plus importante qu'une politique répressive et culpabilisante, source de divisions.
Oui à Ségolène, mais on doit être derrière elle pour faire pression sur elle. L'engagement ne signifie pas qu'elle aura un chèque en blanc. La démocratie participative consiste aussi à ce que ses partisans lui disent si elle fait fausse route. Le Ministre de l'Intérieur n'admettra aucune critique et son aveuglement nous mènera à notre perte.
Que la culture vive et soit forte !
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