Nightmare alley
Hier soir (ou tôt le matin tant cette émission indispensable passe de plus en plus tard), le cinéma de minuit programmait Le Charlatan (Nightmare alley) dans le cadre d'un cycle consacré à Edmund Goulding. L'affiche du film trône majestueusement dans le bureau de Martin Scorsese. Cela a suscité ma curiosité et donné envie d'en savoir plus sur ce film qui intéresse tant un des plus grands cinéastes contemporains et des sommités en ce qui concerne la cinéphilie.
Nightmare alley est un film inclassable, un film Canada dry : ça ressemble à un film noir sans en être tout à fait un. Il y a du Freaks dedans avec un Tyrone Power inquiétant, bien que charmant (au sens envoûtant du terme). Un film tellement déroutant qu'il a connu un échec commercial. Il est vrai que cet homme puni de sa vanité au sommet de sa popularité de bonimenteur pour avoir osé défier Dieu lui-même est digne des personnages de Casino. Sa déchéance dénuée de rédemption est éminemment scorsesienne et rappelle Jake La Motta dans Raging bull.
A découvrir donc et à apprécier sans modération.
Nightmare alley est un film inclassable, un film Canada dry : ça ressemble à un film noir sans en être tout à fait un. Il y a du Freaks dedans avec un Tyrone Power inquiétant, bien que charmant (au sens envoûtant du terme). Un film tellement déroutant qu'il a connu un échec commercial. Il est vrai que cet homme puni de sa vanité au sommet de sa popularité de bonimenteur pour avoir osé défier Dieu lui-même est digne des personnages de Casino. Sa déchéance dénuée de rédemption est éminemment scorsesienne et rappelle Jake La Motta dans Raging bull.
A découvrir donc et à apprécier sans modération.
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