Cinéma de minuit

Je profite de l'article précédent pour rendre hommage à Patrick Brion pour la remarquable programmation de sa non moins remarquable émission, le Cinéma de Minuit. Ce blog ne suffirait pas pour faire la liste de tous les films que j'ai découverts en veillant pour regarder ces raretés dans leur format d'origine et en version originale. Voici quand même une liste des films qui m'ont le plus marqué et que j'ai découvert sur FR3, puis France 3 le dimanche soir :

L'Aventure de madame Muir de Joseph L. Mankiewicz (1947)
Le Limier de Joseph L. Mankiewicz (1972)
Huit et demi de Federico Fellini (1963)
La Colline des hommes perdus de Sidney Lumet (1965)
La Bandera de Julien Duvivier (1935)
Voici le temps des assassins de Julien Duvivier (1956)
Rocco et ses frères de Luchino Visconti (1960)
Sandra de Luchino Visconti (1965)
Les Ensorcelés de Vincente Minnelli (1952)
Brigadoon de Vincente Minnelli (1954)
Les Quatre cavaliers de l'apocalypse de Vincente Minnelli (1961)
The mortal storm de Frank Borzage (1940)
Le Journal d'une femme de chambre de Jean Renoir (1946)
1900 de Bernardo Bertolucci (1976)
Scaramouche de George Sidney (1952)
Femmes entre elles de Michelangelo Antonioni (1955)
Tempête à Washington d'Otto Preminger (1961)
Journal intime de Valerio Zurlini (1962)
La Fille à la valise de Valerio Zurlini (1962)
Les Visiteurs du soir de Marcel Carné (1942)
Le Rebelle de King Vidor (1949)
Le Narcisse noir de Michael Powell et Emeric Pessburger (1947)
La Renarde de Michael Powell et Emeric Pessburger (1950)
Miracle à Milan de Vittorio de Sica (1951)
Casanova, un adolescent à Venise de Luigi Comencini (1969)
L'Aigle des mers de Michael Curtiz (1940)
L'Extravant Mr Ruggles de Leo Mac Carey (1935)
La Huitième femme de Barbe Bleue d'Ernst Lubitsch (1938)
Planète interdite de Fred Mac Leod Wilcox (1957)
La Machine à explorer le temps de George Pal (1960)
Les camarades de Mario Monicelli (1963)
Brève rencontre de David Lean (1945)

et bien d'autres que j'oublie et qui seront sûrement chroniqués dans ces colonnes...
Merci monsieur Brion