Jennifer Connelly
Avant de me faire taxer de "blondophile" exclusif, je rends hommage à la beauté, au charme et au talent de la plus jolie représentante de la population brune hollywoodienne, j'ai nommé Jennifer Connelly. En plus, elle a de magnifiques yeux verts soulignant un regard empli d'intelligence (elle a fait ses études dans la prestigieuse université de Yale). Elle débute à 12 ans dans l'immense chef d'oeuvre absolu de Sergio Leone, Il était une fois en Amérique (un des plus beaux films jamais réalisés depuis la Préhistoire), dans lequel elle prête sa grâce à Déborah, l'amour de la vie de Noodles. Elle enchaîne l'année suivante avec Phenomena de Dario Argento. Avant 15 ans, elle joue déjà sous la direction des deux réalisateurs italiens les plus renommés de leur temps dans leur meilleur film. Vous avez dit surdouée ?
Elle rayonne ensuite à l'âge adulte dans des films tels que Requiem for a dream, de Darren Aronofsky, Un homme d'exception de Ron Howard (Oscar de la best supporting actress) ou Blood diamond d'Edward Zwick. Même dans un navet comme Hulk (dans lequel le gros homme vert qu'il ne faut pas foutre en rogne ressemble à un malabar à la menthe monté sur ressort), elle assure et permet de supporter moins difficilement ce ratage d'Ang Lee...
I love you, Jenn...
Elle rayonne ensuite à l'âge adulte dans des films tels que Requiem for a dream, de Darren Aronofsky, Un homme d'exception de Ron Howard (Oscar de la best supporting actress) ou Blood diamond d'Edward Zwick. Même dans un navet comme Hulk (dans lequel le gros homme vert qu'il ne faut pas foutre en rogne ressemble à un malabar à la menthe monté sur ressort), elle assure et permet de supporter moins difficilement ce ratage d'Ang Lee...
I love you, Jenn...
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil