lundi 25 août 2008

WALL.E


Les films d'animation de Pixar sont quand même incroyable : on a toujours l'impression de toucher le summum avec le dernier opus, le nec plus ultra en matière d'animation, d'univers et (surtout) de scénario et le suivant passe encore un cap technologique et scénaristique. On croit le sommet indépassable et finalement, on grimpe encore. Qui aurait cru que je puisse être ému par l'histoire d'amour entre une boîte de conserve rouillée et un I-Pod.
L'improbable rencontre de La Belle et le clochard et 2001 : l'Odyssée de l'espace ! fonctionne à merveille. Wall.E est extrêmement touchant dans ce jardin d'Eden post-apocalyptique (une décharge publique à ciel ouverte qui recouvre la Terre) sur lequel il est chargé de veiller lorsque la tentatrice EVE fait son apparition pour trouver une once de vie dans cet océan d'ordures... Il la drague en s'inspirant des numéros chantés de Hello Dolly. Oui, il la séduit en lui faisant écouter la voix sirupeuse de la tartissime Barbra Streisand, c'est dire s'il est costaud... C'est comme si je charmais un top model en lui chantonnant du Lara Fabian...
Cela dit, les vingt premières minutes quasiment sans paroles sont un modèle d'inventivité digne du prologue de ce chef d'oeuvre absolu qu'est There will be blood et des meilleurs Chaplin. A voir et à aimer !

2 commentaires:

Anonymous Anonyme a dit...

Mon René a beaucoup aimé.

Céline Dion.

25 août 2008 à 11:16  
Blogger ACTARUS a dit...

Robert Charlebois aussi a apprécié...

25 août 2008 à 11:25  

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