O sole mio...
Il me semble que la misère serait moins pénible au soleil.
Charles Aznavour a bien raison. Le soleil permet de supporter bien des contrariétés. L'astre du jour exerce depuis toujours une grande fascination sur nos semblables. Mais peu de films mettent le soleil au centre de leurs préoccupations. Sunshine, de Danny Boyle, dont j'avais déjà apprécié 28 jours plus tard, répare cette injustice. Le cinéaste originaire de Manchester (ville qui n'est pas réputée pour son taux d'ensoleillement élevé. Brrrrr !!!) se situe dans la veine philosophique de 2001: l'Odyssée de l'espace (voyage extatique à travers l'immensité de l'espace sur fond de quête prométhéenne) au début et du film d'action à la Alien (un corps étranger vient compromettre la mission en se prenant à l'équipage, lui-même divisé par la méthode à employer pour accomplir la mission) à la fin. Un groupe multiethnique de sept membres ont pour mission de réanimer un soleil mourant grâce à une forte charge nucléaire en plein coeur. Mais le héros incontestable de ce film aux effets spéciaux impeccables est le soleil lui-même. On se croirait embarqués à l'intérieur de la sonde SOHO. Le spectateur s'approche au plus-près de sa surface, sans se brûler en plus. On aurait envie d'accompagner l'équipage à bord de l'Icarus II pour le réanimer avec cette bombe de la taille de Manhattan, à défaut de pouvoir lui prodiguer des massages cardiaques ou un bouche-à-bouche énergique pour qu'il puisse reprendre son activité. On a plus envie de le sauver pour sa majesté que parce qu'il est indispensable à la survie humaine.
Au début du film, un psychologue, membre de l'équipage, teste ses limites en essayant de voir jusqu'à quel niveau il peut fixer le soleil sans se cramer la rétine. Lorsque je suis allé à Rhodes (je conseille vivement de visiter cette île du Dodécanèse), je suis rentré complètement rouge comme un écrevisse car j'ai passé une semaine torse nu et en bermuda sous un soleil de plomb sans crème solaire pour filtrer les UV pour la stupide raison que j'ai la peau mate. Résultats des courses : brûlures au troisième degré et impossibilité de poser mon séant pendant plusieurs jours. Mais bon, je ne vais pas vous raconter mes vacances au soleil... Juste une anecdote comme ça en passant...
Bon, je vous laisse, je vais m'installer à la terrasse d'un café pour siroter un coca sous le soleil.
Au début du film, un psychologue, membre de l'équipage, teste ses limites en essayant de voir jusqu'à quel niveau il peut fixer le soleil sans se cramer la rétine. Lorsque je suis allé à Rhodes (je conseille vivement de visiter cette île du Dodécanèse), je suis rentré complètement rouge comme un écrevisse car j'ai passé une semaine torse nu et en bermuda sous un soleil de plomb sans crème solaire pour filtrer les UV pour la stupide raison que j'ai la peau mate. Résultats des courses : brûlures au troisième degré et impossibilité de poser mon séant pendant plusieurs jours. Mais bon, je ne vais pas vous raconter mes vacances au soleil... Juste une anecdote comme ça en passant...
Bon, je vous laisse, je vais m'installer à la terrasse d'un café pour siroter un coca sous le soleil.
1 commentaires:
HOAX
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