Hurdy Gurdy man
J'ai enfin réussi à mettre du son dans ce blog jusqu'alors régi par la dictature des mots et des images (merci Sebika...) En plus, ça marche, je vous jure... Il faut juste que je sache comment faire disparaître l'immense espace sous la barre de progression.
Pour inaugurer mon festival de la chanson (pas celui de San Remo, mais celui de Momo), autant me débarrasser d'un morceau qui traîne dans ma tête (et dans mon lecteur mp3) depuis quelques mois... Comme une vilain virus, je le répand grâcieusement. Que voulez-vous... On est partageur ou on ne l'est pas. Moi, je le suis... J'invite donc Donovan à quitter le générique de fin de Zodiac de David Fincher (je vous avais dit que ça venait de loin, car je l'ai vu en mai peu après sa présentation à Cannes) pour venir hanter cette tribune avec ses arrangements hindous...
J'aime bien aussi Atlantis du même Donovan, dont la partie la plus rythmée a été empruntée par Martin Scorsese dans Les Affranchis, pour la coler sur la scène où Tommy de Vito (alias Joe Pesci) démolit la tronche de Billy Bats dans l'arrière-salle du Copacabana... C'est marrant d'entendre la version complète qui débute par un récitatif dans une douce mélopée onirique. On a du mal à imaginer un type se faire dézinguer à coups de chaussures vernies à 200 dollars pièce sur cet air, mais la partie plus enlevée de ce morceau convient bien au déferlement de violence "joepescien".
Pour inaugurer mon festival de la chanson (pas celui de San Remo, mais celui de Momo), autant me débarrasser d'un morceau qui traîne dans ma tête (et dans mon lecteur mp3) depuis quelques mois... Comme une vilain virus, je le répand grâcieusement. Que voulez-vous... On est partageur ou on ne l'est pas. Moi, je le suis... J'invite donc Donovan à quitter le générique de fin de Zodiac de David Fincher (je vous avais dit que ça venait de loin, car je l'ai vu en mai peu après sa présentation à Cannes) pour venir hanter cette tribune avec ses arrangements hindous...
J'aime bien aussi Atlantis du même Donovan, dont la partie la plus rythmée a été empruntée par Martin Scorsese dans Les Affranchis, pour la coler sur la scène où Tommy de Vito (alias Joe Pesci) démolit la tronche de Billy Bats dans l'arrière-salle du Copacabana... C'est marrant d'entendre la version complète qui débute par un récitatif dans une douce mélopée onirique. On a du mal à imaginer un type se faire dézinguer à coups de chaussures vernies à 200 dollars pièce sur cet air, mais la partie plus enlevée de ce morceau convient bien au déferlement de violence "joepescien".
1 commentaires:
Mais de rien ;) Je n'ai rien fait! Je le jure!!
C'est étrange mais depuis avant-hier, je ne peux plus poster de musique issue de radioblog sans qu'il y ait cette grande barre grise disgracieuse. Normalement, il n'y en a pas! Aurais-tu détraqué le site? ^^
Bonne journée!
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